Rien, où es-tu ? Dans la blancheur du matin la petite flaque glacée t'attends, mais où es-tu ?
A l'horizon tu n'apparais pas, dans le ciel tu n'es pas, peut-être dans ton arbre préféré ou sous le toit à l'abri du froid.
Je suis un peu triste de ne pas te voir ce matin, viendras-tu nous rendre une petite visite, gouter les friandises disposées à ton attention dans un coin de la fenêtre ?
L'hiver blanc arrive en ce mois de décembre, les premières neiges sont-là, les plantes et les graines sont recouvertes d'une pellicule blanche, la terre elle, est devenue dure comme la pierre, mais où es-tu ?
Soudain, ton ombre se marque sur le sol brillant de milles cristaux, tu passes dans les premiers rayons du soleil, enfin te voilà.
Coucou mon amie, coucou ma toute petite, tu survoles, virevoltes, puis tu atterris et trottines avec grâce sur le sol gelé, mais oui, c'est bien toi. Cui...Cui...
Toi avec ton joli plumage bleu comme le bleu du ciel, si petite, si fragile, mais tellement indispensable, que serait le ciel sans ta présence, que seraient les arbres sans ton chant, que seraient ces montagnes et ces paysages sans toi, jolie mésange, que serions nous sans les oiseaux ?
T'observer, rêver de pouvoir comme toi, voler tout là-haut, tout doit paraître si petit de là-haut, les maisons comme les hommes, ton domaine doit être immense, sans limite, sans frontière, sans barrière.
Tu pars, tu décolles avec aisance d'arbre en arbre, puis le bleu de ton plumage se perd dans celui du ciel d'azur, je ne te vois plus, tu es partie loin de mes yeux, peut-être jusqu'à l'horizon.
Voles, voles mon amie, reviens de temps en temps rendre une petite visite à tes amis d'en bas.
Reviens, reviens vite.
Coucou mon amie, coucou ma toute petite, tu survoles, virevoltes, puis tu atterris et trottines avec grâce sur le sol gelé, mais oui, c'est bien toi. Cui...Cui...
Toi avec ton joli plumage bleu comme le bleu du ciel, si petite, si fragile, mais tellement indispensable, que serait le ciel sans ta présence, que seraient les arbres sans ton chant, que seraient ces montagnes et ces paysages sans toi, jolie mésange, que serions nous sans les oiseaux ?
T'observer, rêver de pouvoir comme toi, voler tout là-haut, tout doit paraître si petit de là-haut, les maisons comme les hommes, ton domaine doit être immense, sans limite, sans frontière, sans barrière.
Tu pars, tu décolles avec aisance d'arbre en arbre, puis le bleu de ton plumage se perd dans celui du ciel d'azur, je ne te vois plus, tu es partie loin de mes yeux, peut-être jusqu'à l'horizon.
Voles, voles mon amie, reviens de temps en temps rendre une petite visite à tes amis d'en bas.
Reviens, reviens vite.
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